Costa Rica – le 4 septembre 1971
Un avion de l’Institut géographique national du Costa Rica effectue une mission de cartographie aérienne à 3200 m d’altitude au-dessus de la région du lac de Cote (cordillère de Tilaran : 10° 35’ -1″ N, 84° 55’ -1″ O), sur une zone mesurant 3,8 km de côté. L’équipage de 4 personnes est constitué de : Sergio L. V., spécialiste de la photographie aérienne, Omar A., pilote, Juan B. C., géographe et Francisco R. R., topographe.
Au cours de cette mission, un étrange disque, estimé environ à 62 m de diamètre et d’apparence métallique, est photographié par hasard et semble entrer ou sortir du lac avec une forte inclinaison de la surface de l’eau. En résumé, nos analyses ont suggéré qu’un objet non identifié, opaque, aérien, ait été capturé sur la pellicule à une distance maximum de 10.000 pieds.
Il n’y a aucun moyen visible de propulsion et aucune inscription extérieure autres que les régions foncées qui semblent être non aléatoires… Il n’y a aucune indication que l’image soit le produit d’une double exposition ou d’une falsification délibérée. – Haines, et Vallée, 1989
Les clichés pris immédiatement avant (cliché no.299) et après (cliché no.301), à 20 secondes d’intervalle, ne montrent rien en ce même point du lac.
L’absence de toute ombre sur la surface de la Terre tend à suggérer que l’objet lui-même soit sur ou près de la surface; par conséquent, aucune ombre du disque ne serait prévue. Également intrigantes, les parties flouent du côté gauche du disque, qui peut être expliqué par la possibilité que le disque ait été partiellement submergé, produisant une frontière irrégulière.

Le chercheur-informaticien devenu ufologue Jacques Vallée a participé à l’analyse de cette photographie et a rappelé ces faits dans une entrevue récente:
Le traitement numérique des photographies est très utile. Dans mon livre “Confrontations”, je mentionne la photographie que j’ai rapportée du Costa Rica, qui était peu commune parce que l’objet était au-dessus d’un lac [le Lago de Cote], et qu’il y avait donc un fond sombre uniforme. Tout est connu au sujet de l’avion qui a pris la photo. Lorsque la photo a été prise, personne dans l’avion n’avait vu l’objet. C’est seulement après qu’on ait développé le film que l’objet a été découvert. L’appareil photo utilisé était exceptionnel: il a produit un négatif très grand — dix pouces, très détaillés. Vous pouvez voir des vaches dans les champs. L’heure est connue; la latitude, la longitude et l’altitude de l’avion sont connues. Ainsi nous avons consacré un temps énorme à l’analyse de cette photographie, sans pouvoir trouver quelque réponse normale que ce soit quant à la nature de l’objet. Il semble être une chose très grande et massive.
L’appareil photo utilisé était exceptionnel: il a produit un négatif très grand — dix pouces, très détaillés. Vous pouvez voir des vaches dans les champs.
J’ai obtenu le négatif du gouvernement du Costa Rica — si vous n’avez pas le négatif, l’analyse est une perte de temps. J’ai également obtenu le négatif de la photo prise avant et de l’image suivante, toutes sans censure. J’ai apporté les négatifs à un de mes amis en France qui travaille pour une société qui analyse numériquement les photographies satellites. Ils ont numérisé la chose entière, et l’ont analysée autant qu’ils le pouvaient, et ne n’ont pas pu trouvé une explication pour l’objet.
Cette photographie comme beaucoup d’autres s’avère après étude être l’une de celle qui établit la réalité des OVNIS comme machines ou appareils qui ne sont aucunement d’origine terrestre.
Observation ultérieure
Le 25 octobre 1986 vers 09:00 par temps clair, le lac est paisible et lisse comme un miroir. Joaquin U. A. (propriétaire agricole, 40 ans) et Ronaldo-Alerto L. A. (fermier, 23 ans) voient alors, à 600 m de distance environ, une rangée de 3 ou 4 cylindres, semblables à des poteaux s’élevant de moins de 3 pieds au-dessus du lac. Ils paraissent être fixés à une structure qui reste submergée. S’approchant du lac avec leur tracteur, ils voient une autre série d’objets se dressant hors de l’eau, toujours élevés d’environ 3 pieds et écartés de 3 pieds également. Ils peuvent observer clairement et à loisir les cylindres, de couleur sombre (gris ou brun café). Au bout de 5 ou 10 min, les objets disparaissent ensemble en provoquant des remous et des vagues, toujours comme si les parties émergées appartenaient à une seule structure invisible. Deux semaines plus tard, ils font à Vilchez un récit détaillé et lui remettent un dessin de l’événement.